DG et Biologie

Des concentrations de matière suivant une coquille entourant les structures ont été observées et dans les théories plus conventionnelles ont été interprétées dans le cadre de la théorie des caustiques. Dans le cadre de DG les mêmes observations s'interprètent naturellement comme étant liées à la présence de discontinuités de la gravité : des barrières de potentiel capables de boquer la matière qui s'accumule alors suivant les coquilles. Celles-ci peuvent même constituer un écran opaque empêchant également la lumière produite par les objets brillants à l'intérieur du volume délimité de s'échapper d'où un effet de type "trou noir".  Mais la barrière de potentiel elle même peut aussi générer l'illusion d'une fausse masse centrale en ramenant les conditions asymptotiques du théorème de Gauss à une valeur finie à distance finie.

La discontinuité qui suit les équipotentielles gravitationnelles et se propage perpendiculairement à celles-ci avec une vitesse  déterminée par le taux d'expansion (paramètre de Hubble H0) et le gradient de potentiel local, descend simultanément dans les puits de potentiels de tous les objets concentrés. Le cycle de parcours de potentiel de la discontinuité s'achève et celle-ci saute à son point de départ lorsque la majorité des étoiles a basculé "de l'autre coté du potentiel". Ce phénomène de bubbling observé par Chandra aurait une périodicité approximative de 30000ans:  temps qu'il faut à la discontinuité pour parcourir la différence de potentiel,  prise de la surface d'une étoile à l'infini, de la majorité des étoiles.  Il existe un certain nombre de preuves directes et d'indices indirects qu'une telle discontinuité est en ce moment très proche de la terre (a croisé ou croisera bientôt notre planète), notamment l'effet Pioneer et les instabilités magnétiques dans le système solaire...

Ce phénomène de bubbling mis en évidence par Chandra génère aussi probablement les ondes longitudinales de la théorie également observées par Chandra sous la forme de vagues dans le gaz chaud environnant le centre du cluster de Persée et dont la fréquence a été mesurée même si ces ondes ont été interprétées à tort comme des ondes acoustiques. Ces ondes ne pourraient pas être interprétées comme des OGs en RG car elles sont longitudinales.  La fréquence fondamentale de ces ondes est extrêmement lente (période de 30000 ans, longueur d'onde de 11kpc ) mais l'énergie de chaque quantum  pourrait être colossale (jusqu'à 1019 Joules) si la constante de Planck pour l'interaction gravitationnelle est très supérieure à celle de l'électromagnétisme (cf. quantification gravitationnelle). Dans ce cas, aux petites distances commes celles qui ont typiquement cours dans le système solaire les quantas d'énergie de ce type d'onde longitudinale à une longueur d'onde de quelques UAs seraient de l'ordre 1027Joules. On postule que cette énergie est bien au delà du seuil correspondant à la coupure UV à partir de laquelle la "barrière de potentiel" entre les univers conjugués peut être surmontée donnant lieu à
une annihilation entre les propagateurs d'énergie positive et négative. Alors ces ondes longitudinales de la théorie DG ne contribuent donc pas à la gravité dans ce domaine de distance.  Elles peuvent par contre garder une influence importante sur le lieu des discontinuités mais aussi à grande distance (probablement à l'échelle des amas de galaxies). Mais les Ondes Gravitationnelles peuvent avoir en DG une composante électromagnétique avec la constante de Planck usuelle beaucoup plus petite, composante à laquelle les charges vont être sensibles. C'est même suivant cette ligne de pensée qu'une unification de la gravité et de l'Electromagnétisme s'est dessinée en DG:
Les charges sourcent des ondes d'un tenseur d'ordre 2 tout comme les masses mais ce dernier peut lui même donner naissance en un champ Vectoriel de type potentiel electromagnétique (le vielbein) auquel les charges peuvent se coupler. Si ce scénario est valable pour les Ondes gravitationnelles observées par Chandra, la composante électromagnétique  de ces ondes pourra éventuellement produire ses effets sur la matière chargée.
Les discontinuités de la gravité n'ont en principe aucun effet sur les ondes électromagnétiques mais la physique aux discontinuités ou à leur proximité étant complètement à explorer on ne peut complètement exclure des phénomènes de type optique (reflexion, réfraction) dans ces zones...
Dans le cadre de la théorie de la gravité obscure, finalement trois secteurs de nouvelle physique potentiellement exploitable se présentent:
  1. L'annihilation entre notre matière et l'anti-matière de l'univers conjugué. 

  2. La marche de potentiel gravitationnel de la discontinuité.

  3. Les ondes gravitationnelles et éventuellement ondes électromagnétiques associées

Les systèmes biologiques ayant fait la preuve d'une ingéniosité remarquable à tirer profit de toutes les lois de la physique connue, il est naturel d'envisager en particulier que le vivant a su tirer parti de la marche de potentiel gravitationnel, si elle existe. L'idée est d'autant plus prometteuse que l'on peut escompter des effets importants passés inaperçus jusqu'alors, faciles à mettre en évidence et à exploiter car: